Gobies Ponto-caspiennes – des aquariums à nos rivières?
11.09.2016 10:32:19 | Verband Zoologischer Fachgeschäfte der Schweiz (VZFS), Therese Schumacher
Depuis 2011, le peuplement de deux espèces de gobies invasifs – le gobie de Kessler (Ponti- cola kessleri) et le gobie à taches noires (Neo- gobius melanostomus) – a fortement augmenté dans le Rhin à Bâle ainsi que dans ses affluents.
Partout en Europe où elles se dispersent, les go-bies exercent une forte prédation et concurrencent les espèces indigènes. Comme remarqué par les pêcheurs – dans la statistique 2015 des captures du canton de Bâle-Ville, les gobies représentent plus de 70 % des captures totales.
La question est, comment peut-on empêcher la propagation des gobies ponto-caspiennes en amont du Rhin ainsi que dans les autres rivières? Afin de pouvoir développer des mesures effi- caces, il nous faut d’abord savoir de quelles manières les gobies entrent dans nos eaux. C’est ce que nous étudions, à l’Université de Bâle, dans un projet de recherche pluriannuel.
Nos recherches n’ont pas uniquement lieu en rivière ou en laboratoire, nous cherchons également à collaborer avec des personnes ou groupes qui sont en relation directe ou indirecte avec les gobies (associations de pêche, propriétaires de bateaux...). C’est pour cela que nous nous adressons aujourd’hui à vous:
Comment évalueriez-vous le rôle de l’aquariophilie dans la dispersion des gobies ponto-caspiennes en Suisse?
Votre savoir ainsi que vos expériences, de comment vous et en particulier votre clientèle se comportent avec des poissons tels les gobies, nous sont très précieux. Nous aimerions, conjointement avec vous, penser au déve- loppement de certaines mesures. Dans votre domaine, quels dispositifs préventifs pourraient empêcher la dissémination des gobies?
Pour le groupe «Gobies» de l’Université de Bâle, Prof. Dr. Patricia Holm
Souhaitez-vous nous soutenir en partici- pant, par exemple, à une discussion ou à une enquête, afin d’en apprendre plus sur la problématique des gobies?
Pour participer à notre projet, contactez- nous:
grundel-mgu@unibas.ch
mgu.unibas.ch/goby
Partout en Europe où elles se dispersent, les go-bies exercent une forte prédation et concurrencent les espèces indigènes. Comme remarqué par les pêcheurs – dans la statistique 2015 des captures du canton de Bâle-Ville, les gobies représentent plus de 70 % des captures totales.
La question est, comment peut-on empêcher la propagation des gobies ponto-caspiennes en amont du Rhin ainsi que dans les autres rivières? Afin de pouvoir développer des mesures effi- caces, il nous faut d’abord savoir de quelles manières les gobies entrent dans nos eaux. C’est ce que nous étudions, à l’Université de Bâle, dans un projet de recherche pluriannuel.
Nos recherches n’ont pas uniquement lieu en rivière ou en laboratoire, nous cherchons également à collaborer avec des personnes ou groupes qui sont en relation directe ou indirecte avec les gobies (associations de pêche, propriétaires de bateaux...). C’est pour cela que nous nous adressons aujourd’hui à vous:
Comment évalueriez-vous le rôle de l’aquariophilie dans la dispersion des gobies ponto-caspiennes en Suisse?
Votre savoir ainsi que vos expériences, de comment vous et en particulier votre clientèle se comportent avec des poissons tels les gobies, nous sont très précieux. Nous aimerions, conjointement avec vous, penser au déve- loppement de certaines mesures. Dans votre domaine, quels dispositifs préventifs pourraient empêcher la dissémination des gobies?
Pour le groupe «Gobies» de l’Université de Bâle, Prof. Dr. Patricia Holm
Souhaitez-vous nous soutenir en partici- pant, par exemple, à une discussion ou à une enquête, afin d’en apprendre plus sur la problématique des gobies?
Pour participer à notre projet, contactez- nous:
grundel-mgu@unibas.ch
mgu.unibas.ch/goby